ARTISTES

PIERRE CHARPIN

Céram X

Ensemble de quinze contenants en faïence au décor érotique : trois vases ovales ; trois vases demi-lune ; trois paires de vases demi-lune ; trois boîtes rondes ; trois boîtes empilables. Collection éditée à 30 exemplaires numérotés.

Le sujet du décor, explicitement érotique, est volontairement autonome par rapport à l’objet ; il dit autre chose que l’objet lui-même. Cependant, il existe une subtile corrélation entre l’objet et le décor car le dessin et la forme de l’objet permettent, soit de cacher, soit de révéler les scènes érotiques, suivant l’humeur et les désirs de l’usager. Ainsi se crée un jeu de faces selon que l’on décide de montrer l’objet sous sa face non décorée (simple objet d’usage) ou décorée (l’objet devient alors support de narration et d’imaginaire).

photo ariste
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Né en 1962 (France), vit et travaille à Ivry-sur-Seine (92). Plasticien de formation, Pierre Charpin consacre l’essentiel de son activité au design de mobilier et d’objet. Son travail s’articule aussi bien autour de l’expérimentation que de projets d’éditions, de recherche et de production. Ses objets établissent une forte relation à l’espace qui les contient et offrent des usages ouverts qui enrichissent l’appréhension et l’appropriation de l’objet par l’usager. Pierre Charpin est élu créateur de l’année en 2005 par le Salon du Meuble de Paris. www.pierrecharpin.com

Collection Itebos – 1999

Ensemble de quinze contenants en faïence au décor érotique : trois vases ovales ; trois vases demi-lune ; trois paires de vases demi-lune ; trois boîtes rondes ; trois boîtes empilables. Collection éditée à 30 exemplaires numérotés.

Le sujet du décor, explicitement érotique, est volontairement autonome par rapport à l’objet ; il dit autre chose que l’objet lui-même. Cependant, il existe une subtile corrélation entre l’objet et le décor car le dessin et la forme de l’objet permettent, soit de cacher, soit de révéler les scènes érotiques, suivant l’humeur et les désirs de l’usager. Ainsi se crée un jeu de faces selon que l’on décide de montrer l’objet sous sa face non décorée (simple objet d’usage) ou décorée (l’objet devient alors support de narration et d’imaginaire).

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